Bonjour, Macro US 14H00 : RBC attente des consommateurs FEB précdt 48 14H30 : Indice coût de l’emploi 4Q 0.5% précdt 0.4% 14H30 : Revenu personnel DEC 0.8% précdt 0.6% 14H30 : Consommation des ménages DEC 0.3% précdt 0.4% 14H30 : Nv demandes allocations chômage JAN26 350K précdt 330K 14H30 : Demandes continues JAN19 3171K précdt 3157K 15H45 : Directeurs achat Chicago JAN 50.5 précdt 51.6 La Réserve fédérale américaine a réaffirmé mercredi que son plan de rachats d’actifs, à hauteur de 85 milliards de dollars par mois, resterait en place tant que les perspectives en matière d’emploi ne s’étaient pas significativement améliorées.Elle a déclaré que la croissance économique avait marqué une pause ces derniers mois, tout en attribuant cela à des facteurs transitoires, comme des intempéries météorologiques.Les données du produit intérieur brut (PIB) américain, publiées dans la journée, semblent donner raison à la Fed puisque celles-ci ont montré une contraction des Etats-Unis au quatrième trimestre, une première depuis le deuxième trimestre 2009.Ceci étant dit, comme la Fed, les économistes pensent qu’il ne faut pas trop s’alarmer, notant également des phénomènes passagers. A l’issue d’une réunion de politique monétaire sur deux jours, la Fed a maintenu son taux directeur à un niveau proche de zéro, maintenant ainsi le statu quo en la matière depuis la fin 2008, époque qui correspondait à l’acmé de la crise financière 2007-2009. La Federal Reserve maintient son cap et son programme d’assouplissement quantitatif sans limite temporelle. La banque centrale va continuer à acheter pour 40 milliards de dollars d’actifs immobiliers titrisés et pour 45 milliards d’obligations d’Etat chaque mois. Objectif : « maintenir la pression à la baisse sur les taux d’intérêt à long terme, soutenir les marchés immobiliers, rendre les conditions de financement au sens large plus souples », rappelle le HYPERLINK « http://www.federalreserve.gov/newsevents/press/monetary/20130130a.htm » ncommuniqué publié mercredi.La Federal Reserve, dont le total de bilan vient de passer la barre des 3.000 milliards de dollars, se montre donc insensible aux arguments de ceux qui craignent que ces achats massifs ne créent à terme de profonds déséquilibres sur les marchés. Ou bien que la sortie de ces programmes de soutien aux marchés immobiliers ne se fasse dans la douleur, le moment venu. La Fed se justifie par l’évolution de l’économie : « la croissance a marqué le pas ces derniers mois, en large partie à cause d’événements climatiques et d’autres facteurs transitoires ». Allemagne PLONGEON (-1,7%) DES VENTES AU DÉTAIL EN DÉCEMBRE PREMIÈRE HAUSSE EN QUATRE MOIS DE LA CONFIANCE DU CONSOMMATEUR L’INDICE IFO EN HAUSSE POUR lE 3E MOIS D’AFFILÉE EN JANVIER HAUSSE SPECTACULAIRE DE L’INDICE ZEW CROISSANCE DE 0,7% EN 2012, CONTRACTION DE 0,5% AU T4 L’INFLATION CONFIRMÉE À 2,1% EN DÉCEMBRE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE REBONDIT MOINS QUE PRÉVU EN NOVEMBRE LES COMMANDES À L’INDUSTRIE BAISSENT PLUS QUE PRÉVU EN NOVEMBRE NOUVELLE CONTRACTION DE L’EXCÉDENT COMMERCIAL EN NOVEMBRE Japon La production industrielle au Japon a progressé en décembre à son rythme le plus marqué en 18 mois et les entreprises s’attendent à une poursuite de cette amélioration à la faveur d’une hausse des exportations.Ces données publiées jeudi par le ministère des Finances, du Commerce et de l’Industrie sont susceptibles de conforter le nouveau Premier ministre, Shinzo Abe, dans sa volonté de soutenir l’économie en conjuguant un important plan de relance budgétaire et des pressions continues sur la Banque du Japon (BoJ) pour qu’elle mène une politique monétaire très accommodante.La production industrielle a augmenté de 2,5% sur le dernier mois de 2012 contre un recul de 1,4% en novembre. Les analystes avaient toutefois anticipé une progression plus forte encore, de 4,5%. Publications A l’international, la Deutsche Bank annoncera ses résultats annuels préliminaires à Francfort tandis que Royal Dutch Shell et Diageo, annonceront lles leurs à Londres. En HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Espagne »Espagne, c’est la banque HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=SANTA&place=XAMS&codif=MNE »Santander qui fera un point annuel, sous pression depuis la perte de 5,3 millions d’euros enregistrée en 2011. Le tour des publications européennes se termine avec le suédois Ericsson, qui livrera à Stockholm les comptes de son dernier trimestre 2012. A HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?code=US2605661048&place=XNYS&codif=ISIN »Wall Street, The Dow Chemical Compagny, Whirlpool et UPS présenteront leurs trimestriels avant la séance. News BANQUES : Les dirigeants des banques françaises ont tenté mercredi matin de convaincre les parlementaires des menaces que font planer à leurs yeux le projet de réforme bancaire du gouvernement sur leurs activités.Le Parlement doit examiner à partir du 12 février le projet de loi de séparation et de régulation des activités bancaires dont les grandes lignes ont été présentées par le gouvernement fin décembre. « Nous pensons que compte tenu du nombre de réformes qui sont arrivées ces dernières années, cette évolution n’était ni une urgence, ni une priorité », a déploré Jean-Paul Chifflet, directeur général de Crédit agricole S.A. et président de la Fédération bancaire française (FBF). « C’est un texte contraignant car il va amener des bouleversements. Il donne des pouvoirs considérables au superviseur », a-t-il ajouté au cours d’une audition organisée par la commission des finances de l’Assemblée nationale.Frédéric Oudéa, PDG de la Société générale, a de son côté estimé que la législation, telle qu’envisagée actuellement par le gouvernement, risquait d’avoir une influence néfaste sur le positionnement des banques françaises par rapport à leurs concurrentes internationales. ALTRAN : Altran a fait état jeudi d’une progression de son chiffre d’affaires en 2012, tiré par la croissance de son activité à l’international, et a confirmé ses objectifs annuels.Le groupe de conseil en technologies a enregistré un chiffre d’affaires 2012 de 1,455 milliard d’euros, contre 1,419 milliard en 2011, faisant ressortir une croissance organique de 4,3%.Les analystes interrogés par Thomson Reuters I/B/E/S tablaient en moyenne sur un chiffre d’affaires de 1,451 milliard d’euros. VEOLIA ENVIRONNEMENT : a annoncé jeudi qu’il avait remporté un contrat de distribution d’eau de 400 millions de dollars sur 30 ans à Rialto, en Californie du Sud, ce qui pourrait lui ouvrir la porte à d’autres contrats aux Etats-Unis selon sa direction.Selon les termes du contrat, la ville de Rialto restera la propriétaire des installations et du réseau de distribution d’eau, ce qui marque un changement par rapport à un précédent projet de la société d’acquérir le réseau qui n’a pas été retenu. SIEMENS : Siemens annonce que ÖBB, la compagnie de transport ferroviaire autrichienne, vient de passer commande pour 100 trains régionaux Desiro ML, pour un montant de 550 millions d’euros.Il s’agit du premier contrat signé dans le cadre d’un accord conclu entre les deux parties en 2010, portant sur un volume total de plus de 200 trains.Les trains électriques seront livrés à partir de la fin de l’année 2015. La production finale se passera sur le site d’ÖBB à Jedlersdorf.30 des 100 trains commandés desserviront la capitale Vienne et les alentours, tandis que les 70 autres seront affrétés au transport régional dans le pays BOEING : a publié mercredi des résultats trimestriels en baisse mais meilleurs qu’attendu et a dit ne pas prévoir d' »impact financier significatif » de l’interdiction de voler des 787 Dreamliner par les régulateurs sur ses résultats de 2013.Le bénéfice par action du groupe d’aérospatiale et de défense a reculé à 1,28 dollar au quatrième trimestre, correspondant à un bénéfice total de 978 millions de dollars, contre 1,84 dollar (1,39 milliard) un an auparavant, lorsque le groupe avait enregistré un bénéfice exceptionnel lié à la fiscalité. Hors bénéfice exceptionnel, le BPA s’était affiché à 1,32 dollar.Le résultat dépasse cependant le consensus Thomson Reuters I/B/E/S qui tablait en moyenne sur un BPA de 1,19 dollar.Le chiffre d’affaires au quatrième trimestre a augmenté de 14% à 22,3 milliards de dollars. RUBIS : a annoncé mercredi qu’il allait reprendre le site de stockage de Petroplus Raffinage Reichstett. « Rubis Terminal a déposé une offre de reprise de la branche d’activité stockage de la société Petroplus Raffinage Reichstett qui a été validée par le tribunal de grande instance de Strasbourg le 29 janvier 2013, avec une prise d’effet au 1er février 2013 », a déclaré le groupe dans un communiqué. Les activités reprises représentent une capacité globale de stockage de 500.000 mètres cubes, dont 368.000 mètres cubes seront remis en service dans les trois prochaines années, a précisé la société. Dans ce cadre, Rubis Terminal reprendra huit salariés et investira 36,5 millions d’euros sur cinq ans pour dépolluer, démanteler, mettre en conformité et moderniser ses nouvelles installations. Les autres modalités financières de l’opération ne sont pas précisées. Petroplus, qui exploitait cinq raffineries en Europe, a déposé le bilan au début de l’année 2012. ARCELOR MITTAL :ArcelorMittal a publié son consensus d’Ebitda pour le quatrième trimestre 2012. Cette estimation ressort à 1,262 milliard de dollars. Les chiffres consensus sont basés sur des estimations d’analystes enregistrées sur un outil Internet externe fourni et géré par une société indépendante appelée Vuma Financial Services Limited. Pour aboutir aux chiffres du consensus, VUMA a agrégé les attentes des analystes sell side qui, à la connaissance du sidérugiste, couvrent ArcelorMittal sur une base continue. Il s’agit actuellement d’un groupe d’une trentaine de courtiers UNIBAIL-RODAMCO :Unibail-Rodamco a réalisé en 2012 un résultat net récurrent par action de 9,60 euros, en hausse de 6,7%. Le premier groupe coté d’immobilier commercial en Europe avait annoncé un objectif de croissance de 4%. Le résultat net récurrent a progressé, lui, de 7,2% à 886 millions d’euros. Les loyers nets perçus par le groupe ont augmenté de 4,4% (+4,8% à périmètre constant) à 1,318 milliard d’euros. Les loyers ont progressé de 6,1% dans les centres commerciaux, de 7,7% dans les congrès mais baissé de 6,5% dans les bureaux. ALCATEL LUCENT : a annoncé la conclusion de son accord de financement. Suite à la demande très importante des investisseurs reçue pendant la phase de syndication menée par Crédit Suisse AG et Goldman Sachs Bank USA, l’équipementier télécoms a augmenté le montant des financements de 1,6 milliard d’euros à environ 2 milliard d’euros. Cette augmentation s’est accompagnée d’une baisse du coût du crédit de près de 90 points de base et d’une augmentation du prix d’émission de 150 points de base.Le covenant financier a été retiré et les restrictions applicables aux remboursements anticipés ont été réduites.Alcatel-Lucent a confirmé que les fonds seront utilisés pour le refinancement de certains emprunts ainsi que pour satisfaire les besoins de financement généraux du groupe. APPLE :Un juge californien a rejeté une demande présentée par Apple qui aurait pu aboutir au triplement de la somme de 1,05 milliard de dollars à laquelle Samsung a été condamné à lui verser en août. La cour fédérale a estimé que le groupe coréen n’avait pas délibérément violé les brevets du fabricant de l’iPhone. Le juge a également rejeté la demande par Samsung d’un nouveau procès. FIAT : Fiat abandonne 4% à 4,5 euros à Milan et essuie l’une des plus fortes baisses du FTSE MIB, à la suite de la publication de résultats annuels impactés par la déprime du secteur automobile en Europe.Le groupe turinois a vu son bénéfice net se tasser de 15% à 1,4 milliard d’euros en 2012, soit un peu mois de 29 centimes d’euro par action, alors que le marché attendait en moyenne deux centimes de plus.Le profit des activités du constructeur s’est accru de 18% en base pro forma pour atteindre 3,8 milliards, soit une marge de 4,5% par rapport à un chiffre d’affaires en croissance de 12% à 84 milliards d’euros.Les ventes ont été tirées par des progressions vigoureuses en Amérique du Nord et Latine, ainsi que dans la région Asie Pacifique, alors qu’elles se sont contractées sur le vieux continent face au marasme de la demande en Europe, en particulier en Italie.La vigueur des marchés hors Europe conduit Fiat à confirmer prévoir pour 2013 un bénéfice net de 1,2-1,5 milliard d’euros, un profit des activités de quatre ou 4,5 milliards et un chiffre d’affaires compris entre 88 et 92 milliards.Par ailleurs, le conseil d’administration de Fiat a décidé de ne pas verser de dividende au titre de l’exercice écoulé, ‘compte tenu de sa volonté de maintenir un niveau élevé de liquidité et de restrictions sur la capacité de Chrysler à distribuer des dividendes’. CHRYSLER : Le constructeur automobile américain Chrysler a annoncé mercredi prévoir un bénéfice en 2013 situé dans le bas de ses objectifs et a diminué des deux tiers sa prévision de trésorerie disponible pour 2014.Sa maison mère, Fiat, a fait savoir de son côté que sa dette nette, qui est surveillée de près, avait augmenté de 18% environ pour représenter 6,54 milliards d’euros fin 2012, conforme à ses propres objectifs et au consensus, mais que ses pertes en Europe avaient été réduites.Le troisième constructeur américain s’attend désormais à une trésorerie d’un milliard de dollars (737 millions d’euros) pour son exercice 2014. HONDA : Honda Motor a annoncé jeudi avoir revu en légère baisse, de 1,3%, sa prévision de bénéfice annuel, à 370 milliards de yens (3,0 milliards d’euros), pour prendre en compte l’impact sur ses ventes des tensions diplomatiques entre le HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Japon »Japon et la HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine et celui de la crise en Europe.Pour le troisième trimestre de son exercice 2012-2013, le constructeur automobile affiche une hausse de 62,6% sur un an de son bénéfice net, grâce à la forte hausse de ses ventes aux Etats-Unis, son premier marché, et à la dépréciation du HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?code=USDJPY&place=WFORX&codif=ISO »yen, qui rend ses voitures plus compétitives à l’étranger.Il a d’ailleurs précisé avoir revu ses prévisions moyennes de taux de change pour l’exercice à fin mars, à 81 yens pour un dollar contre 80 yens jusqu’à présent et à 105 yens pour un euro contre 103.Le numéro trois japonais du secteur a réalisé sur octobre-décembre un bénéfice net de 77,4 milliards de yens, contre 47,7 milliards sur la même période en 2011, marquée par l’impact d’importantes inondations en Thaïlande, qui avaient perturbé ses chaînes d’approvisionnement. ESSILOR : Le numéro un mondial de l’optique ophtalmique a pris 80% du capital de X-Cel Optical, un producteur de verres du Minnesota, spécialiste des verres bi et tri-focaux, blancs ou photochromiques, déclinés dans différents matériaux, dont le « Trivex », une résine qui connaît une forte progression sur le marché. La société réalise un chiffre d’affaires annuel de 33 millions de dollars environ. Essilor prévoit, outre les synergies commerciales, des collaborations industrielles et une optimisation de sa stratégie d’approvisionnement. Enfin, Essilor et X-Cel Optical pourront mutuellement bénéficier de leur savoir-faire en ingénierie pour optimiser leurs process industriels. Le groupe français a en parallèle densifié son réseau local de distribution aux Etats-Unis, via un partenariat avec Lenstech Optical, un laboratoire de prescription, situé dans l’Indiana réalisant un chiffre d’affaires de 6 millions de dollars annuels. Essilor va apporter ses nouvelles technologies au laboratoire, ce qui permettra d’accélérer la diffusion de marques phares comme Varilux et Crizal dans la zone de chalandise de la société. Essilor ne fournit pas d’indication sur le coût des opérations. STMIRCOELECTRONICS : a fait état d’une aggravation de sa perte trimestrielle mercredi, le fabricant de semi-conducteurs franco-italien ayant pâti des difficultés de ses activités mobiles.Le chiffre d’affaires de la société, qui fabrique des puces pour des voitures, des ordinateurs et des téléphones portables, s’est établi à 2,162 milliards de dollars, contre 2,192 milliards il y a un an.HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=NL0000226223&place=XPAR&codif=ISIN »STMicroelectronics a déclaré que ses ventes du trimestre en cours devraient reculer de 7% d’un trimestre à l’autre, avec un marge d’erreur de 3,5 points de pourcentage.La perte nette sur le quatrième trimestre 2012 s’est établie à 428 millions de dollars, contre -11 millions il y a un an.Les analystes financiers avaient anticipé un chiffre d’affaires de 2,148 milliards dollars pour le quatrième trimestre, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S.. Les difficultés de STMicro, premier fabricant européen de semi-conducteurs en termes de chiffre d’affaires, sont en grande partie dues à sa joint-venture ST Ericsson, créée il y a quatre ans et qui peine à pénétrer le marché des puces pour smartphones alors que celui des téléphones bas de gamme où elle excelle est en rapide déclin. QUALCOMM : Qualcomm a fait état mercredi de résultats supérieurs aux attentes pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2012-2013 et le fabricant américain de puces pour mobiles a également relevé ses prévisions annuelles à la faveur d’une demande pour les smartphones toujours en hausse.Dans des échanges d’après-Bourse, l’action Qualcomm bondissait de près de 7%, les perspectives favorables de l’entreprise tranchant avec celles, beaucoup plus mitigées, évoquées par ses concurrents HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=TXN&place=XNAS&codif=TICK »Texas Instruments et Broadcom. FACEBOOK : Facebook : supérieur aux attentes au T4 (profit net de 17 cents par action, 15 cents attendu) mais les marges en baisse Toshiba Corp : a publié jeudi un bénéfice opérationnel en hausse, mais inférieur aux attentes, pour le troisième trimestre de son exercice 2012-2013, la faiblesse des ventes de télévisions et d’ordinateurs personnels ayant contre-balancé le niveau élevé des commandes de centrales thermiques.Le conglomérat japonais, qui fabrique des puces mémoire flash NAND utilisées notamment dans les iPhones d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=US0378331005&place=XNAS&codif=ISIN »Apple , a réalisé un bénéfice opérationnel de 29,3 milliards de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?code=USDJPY&place=WFORX&codif=ISO »yen (238 millions d’euros) sur la période octobre-décembre, en hausse par rapport aux 8,67 milliards de yen d’il y a un an. Ce résultat est en net retrait par rapport au consensus Thomson Reuters I/B/E/S, à 47,6 milliards de yens, établi sur la base des estimations de quatre analystes. VIVENDI : Les fonds d’investissement KKR et Apax Partners LLP se sont associés pour déposer une offre de reprise sur l’opérateur téléphonique brésilien GVT, filiale de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000127771&place=XPAR&codif=ISIN »Vivendi, rapporte jeudi l’agence Bloomberg.Selon l’agence, qui cite une source proche du dossier, le consortium, qui comprend aussi les sociétés d’investissement Gavea Investimentos (détenue par JPMorgan Chase ) et Cambuhy Investimentos, serait prêt à offrir au moins cinq milliards d’euros pour GVT.Ce montant est inférieur à celui visé par HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000127771&place=XPAR&codif=ISIN »Vivendi qui espérait récolter jusqu’à sept milliards d’euros de la vente de sa filiale spécialisée dans les services de téléphonie fixe, d’internet haut débit et de télévision payante.Selon Bloomberg, Grupo BTG Pactual envisagerait également de rejoindre le consortium. DEUTCHE BANK : fait état d’une lourde perte trimestrielle, plombée par d’importantes charges de restructuration. Le premier groupe bancaire allemand essuie ainsi sur les trois derniers mois de l’année 2012 une perte avant impôts de 2,6 Milliards d’euros contre un déficit de 0,4 MdE un an plus tôt. La perte nette ressort à 2,2 Milliards d’euros contre un profit de 0,2 MdE un an auparavant pour des revenus en hausse de 14% à 7,9 MdsE. La banque précise avoir passé dans ses comptes une charge de dépréciation de survaleurs de 1,9 MdE et des charges liée à des litiges judiciaires d’un MdE. Deutsche Bank est en passe de regrouper ses divisions de gestion d’actifs et de gestion de fortune, tout en créant parallèlement une division non stratégique dans laquelle la banque se délestera de 125 Milliards d’euros d’actifs. Le 14 décembre, l’établissement avait dit que le quatrième trimestre 2012 allait être impacté négativement par des charges de restructuration et de réévaluation de la valeur de certains actifs. Ses restructurations sont censées dégager 4,5 MdsE d’économies annuelles d’ici 2015. Brokers TSAF revalorise HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/technicolor-FR0010918292,FR.html »Technicolor de 3,60 à 4,20 euros en restant acheteur. Exane BNP Paribas dégrade HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/safran-FR0000073272,FR.html »Safran de « surperformance » à « neutre ». HSBC porte de 48 à 56 euros son objectif sur HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/bnp-paribas-FR0000131104,FR.html »BNP Paribas. Goldman Sachs passe de « neutre » à « achat » sur HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/schneider-FR0000121972,FR.html »Schneider. CREDIT AGRICOLE : prix cible augmenté à 9.40 par HSBC BNP PARIBAS : prix cible augmenté à 56.00 par HSBC SOCIETE GENERALE : prix cible augmenté à 38 par HSBC BOUYGUES : prix cible baissé à 18 par Oddo et Cie