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NEWS 28 02 2013

Bonjour, Macro US 14H30 : PIB GT ( annualisé ) 4QS 0.5% précdt -0.1% 14H30 : Consommation personnelle 4QS 2.3% précdt 2.2% 14H30 : Indice des prix du PIB 4QS 0.6% précdt 0.6% 14H30 : Conso de base des ménages 4QS 0.9% précdt 0.9% 14H30 : Nvlles demandes allocations chômage FEB23 360K précdt 362K 14H30 : Demandes continues FEB16 3140K précdt 3148K 15H00 : NAPM Milwaukee FEB 52.0 précdt 51.3 15H45 : Directeurs achats Chicago FEB 54.0 précdt 55.6 17H00 : FES Kansas City activité manufacturière FEB -1 précdt -2 La Banque centrale européenne (BCE) n’est pas près de sortir des mesures non conventionnelles mises en place pour soutenir la croissance en zone euro, a déclaré mercredi son président de Mario Draghi. »Notre politique monétaire reste accommodante », a-t-il dit à l’occasion d’une intervention à l’Académie catholique de Bavière. « Nous sommes loin de penser à une sortie. »Il a toutefois ajouté que la BCE, dont le bilan avait déjà été réduit par rapport à son pic de 3.000 milliards d’euros, pourrait voir « une réduction naturelle » de son bilan sachant que les banques remboursent les fonds dont elles n’ont pas besoin.La BCE dispose de nombreux instruments pour retirer des liquidités de l’économie quand cela est nécessaire, a-t-il dit. Le président de la Réserve fédérale HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Ben%20Bernanke »Ben Bernanke a affirmé mercredi qu’une majorité significative du comité de politique monétaire était favorable aux mesures prises par la HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=FED »Fed. »La grande majorité du comité est favorable à la politique que nous menons », a-t-il déclaré lors son audition semestrielle devant la commission des services financiers de la Chambre des Représentants, après son audition de la veille devant le Sénat.Il a ajouté qu’un débat permanent aurait lieu sur les avantages et inconvénients de la politique monétaire actuelle. Le 30 janvier, lors de sa première décision de politique monétaire de 2013, la Fed a réaffirmé que son plan actuel de rachats d’actifs (QE3), à hauteur de 85 milliards de dollars par mois, resterait en place tant que les perspectives en matière d’emploi ne s’étaient pas significativement améliorées.HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Ben%20Bernanke »Ben Bernanke a ajouté devant la Chambre de Réprésentants que les mesures budgétaires d’ores et déjà décidées réduiraient la croissance de 1,5 point cette année, « ce qui est très significatif ». Il a en conséquence appelé le Congrès à se concentrer sur la consolidation budgétaire à plus long terme, soulignant que c’était là que résidaient les « vrais problèmes ». »Je suis très favorable à ce qu’on remette de l’ordre dans le budget mais je pense que c’est un effort de long terme », a-t-il dit. Chine La Chine, désormais deuxième marché mondial devant le Japon, de même que l’Inde et le Brésil tireront en grande partie la croissance du marché mondial de la high-tech en 2013, alors que l’Europe pâtira de sa situation économique, a estimé mercredi la fédération allemande du secteur. « Le secteur de la high-tech demeure un important moteur de croissance dans le monde », met en avant dans un communiqué la fédération Bitkom, à quelques jours du grand salon de la high-tech Cebit, à Hanovre (nord). Pour 2013, cette fédération professionnelle table sur une croissance de 5,1% du chiffre d’affaires du secteur pour atteindre 2.700 milliards d’euros dans le monde. Les plus forts taux de croissance sont attendus en Inde (+13,9%), au Brésil (+9,6%) et en Chine (+8,9%), détaille le Bitkom se basant sur des chiffres de son propre institut de recherche. Italie Les coûts de financement de l’Italie ont augmenté de plus d’un demi-point mercredi lors de la première adjudication à long terme depuis les élections générales, qui ont débouché sur un blocage politique, mais l’opération est loin d’avoir été boudée par les investisseurs. Le Trésor a adjugé pour 4,0 milliards d’euros d’une nouvelle obligation à dix ans à un rendement brut de 4,83%, le plus élevé depuis octobre. Fin janvier, Rome n’avait dû payer que 4,17% pour placer du papier à dix ans.La demande a été 1,65 fois supérieure à l’offre de titres, un ratio de couverture qui reflète un appétit solide pour la dette à long terme italienne en dépit de l’incertitude politique.On ignore toujours si les partis en lice lors des élections de dimanche et lundi, dont aucun n’a obtenu la majorité au Sénat, parviendront à s’entendre pour former une coalition capable de gouverner.Cette situation s’est traduite mardi par une forte baisse des marchés boursiers européens et par une remontée des rendements obligataires italiens sur les marchés secondaires.Ce mouvement s’inversait toutefois mercredi, les Bourses repartant de l’avant tandis que l’écart de rendement (spread) entre les obligations italiennes et allemandes à 10 ans se réduisait légèrement.Sur le marché secondaire, le rendement à dix ans italien reculait de six points de base à 4,84% vers 13h25. Il avait culminé à 6,19% en juin de l’an dernier, avant la promesse de la Banque centrale européenne (BCE) de venir en aide aux Etats de la zone euro qui en feraient la demande en achetant de la dette sur les marchés.Rome a également placé mercredi pour 2,5 milliards d’obligations arrivant à échéance en novembre 2017 à un rendement brut de 3,59%, contre 2,94% en janvier, avec un ratio de couverture de 1,614 contre 1,3. Norvège La Norvège a révisé à la hausse de 15% son estimation de la quantité de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/matieres_premieres/petrole.jsp »pétrole et de gaz restant à découvrir en mer, après la prise en compte d’une région de l’océan Arctique, dans la mer de Barents, frontalière avec la HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Russie »Russie.La Norvège estime désormais que 18,7 milliards de barils d’équivalent HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/matieres_premieres/petrole.jsp »pétrole (bep) restent à découvrir dans ses eaux territoriales.De nombreuses banques ont entrepris, ou terminé, leur restructuration, mais restent sous-évaluées, souligne Guy de Blonay, gérant adjoint du fonds JGF Global Financials chez Jupiter Asset Management. « Avant d’aller chercher des opportunités sur les marchés émergents, les investisseurs devraient profiter des opportunités offertes par ce secteur sur les marchés développés », conseille celui-ci. Alors que les valeurs bancaires deviennent ennuyeuses, les marchés commencent enfin à les trouver attrayantes. Espagne Madrid s’oppose à la Commission européenne sur l’ampleur des pertes à imposer aux actionnaires de Bankia dans le cadre du sauvetage de la banque espagnole, apprend-on de sources proches des négociations, en ajoutant que cela retarde la prochaine étape du plan. Bruxelles souhaite que la banque nationalisée soit valorisée à 0,01 euro par action, tandis que Madrid, qui veut atténuer le coup pour ses actionnaires, fait pression en faveur d’une valorisation légèrement plus élevée, à 0,1 euro par action, apprend-on de quatre sources proches des discussions.La fixation d’un prix de 0,01 euro par action laisserait aux actionnaires seulement 0,13% du capital de la Bankia à l’issue du plan, tandis qu’un prix à 0,1 euro leur en laisserait 1,3%.Ni le Frob, le fonds de restructuration bancaire, ni Bankia n’ont voulu commenter ces informations. Personne n’était immédiatement disponible auprès de la Commission pour commenter. News DANONE : Le groupe agroalimentaire français Danone (BN.FR) prévoit une émission benchmark d’obligations libellées en euros, arrivant à maturité en juin 2018, a indiqué l’une des banques en charge de l’opération. Le prix suggéré pour l’émission se situerait autour de 40 points de base au-dessus des taux midswaps. Barclays, ING, Mitsubishi UFJ Securities International, Natixis, Royal Bank of Scotland et Santander sont chefs de file de la transaction. L’émetteur est noté « A3 » par l’agence d’évaluation financière Moody’s et « A- » par Standard & Poor’s. France TELECOM : Standard & Poor’s a placé la dette de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000133308&place=XPAR&codif=ISIN »France Télécom sous surveillance avec implication négative, car l’agence d’évaluation financière craint que le déclin attendu en 2013 de l’excédent brut d’exploitation du groupe de télécommunications soit plus prononcé que prévu, en raison du durcissement du marché mobile français et d’autres marchés européens clés. S&P compte prendre une décision sur la note du groupe dans les prochaines semaines, a déclaré l’agence de notation de crédit mercredi, en précisant qu’elle pourrait dégrader d’un cran sa note de crédit sur le groupe, en l’absence de nouvelles mesures pour réduire sa dette. Standard & Poor’s affiche une note « A- » sur la dette de l’opérateur de télécoms français. VIVENDI : Vivendi a demandé auprès du ministère des Finances le remboursement de 366 millions d’euros pour n’avoir pas pu bénéficier du régime du bénéfice mondial consolidé au titre de son exercice 2011, peut-on lire dans le rapport financier 2012 du groupe de télécoms et de divertissement publié mardi.Dans ce rapport, le groupe dit avoir déposé une demande de remboursement auprès de Bercy le 30 novembre 2012. Le régime du bénéfice mondial consolidé permet de consolider fiscalement les pertes et profits avec ceux des filiales réalisées en France comme à l’étranger.Vivendi avait obtenu en mars 2009 le renouvellement de son agrément au régime du bénéfice mondial consolidé pour une période de trois ans, soit du 1er janvier 2009 au 31 janvier 2011.Mais, entre temps, la législation française a évolué. « Les modifications de la législation fiscale en France en 2011 (…) ont mis fin au régime du bénéfice mondial consolidé pour les entreprises clôturant leur exercice à compter du 6 septembre 2011 », note Vivendi dans son rapport financier. ESSILOR : Le numéro un mondial de l’optique ophtalmique HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000121667&place=XPAR&codif=ISIN »Essilor s’est déclaré jeudi « serein » dans sa capacité à réaliser « une nouvelle année de croissance et de rentabilité élevée », après une nette hausse de ses résultats en 2012 grâce au dynamisme de son marché et à une politique d’acquisition soutenue. L’opticien a dégagé l’année dernière un résultat net en hausse de 15,5% à 584 millions d’euros. Un montant proche de celui visé par les analystes, qui avaient en moyenne anticipé un bénéfice de 589 millions d’euros, selon FactSet. Le résultat opérationnel courant du fabricant de verres ophtalmiques s’est pour part apprécié de 19,5% à 594 millions d’euros, ce qui traduit un maintien de sa marge à 17,9% d’une année sur l’autre, conformément à ses objectifs internes. Le chiffre d’affaires annuel d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000121667&place=XPAR&codif=ISIN »Essilor a atteint 4,99 milliards d’euros, en hausse de 19,1% et de 14,5% hors effets de changes, grâce à un marché de l’ophtalmique dynamique car sous-équipé, notamment dans les pays émergents, et à une politique d’acquisitions soutenue. Les acquisitions ont contribué à hauteur de 9,3% à la croissance d’Essilor en 2012. AHOLD : L’opérateur de supermarchés néerlandais Ahold a augmenté son dividende et compte racheter pour 500 millions euros d’actions. Il a par ailleurs jeudi publié des résultats du quatrième trimestre un peu supérieurs aux attentes et s’est dit prudent pour ses perspectives de 2013.Ahold versera un dividende de 0,44 euro par action contre 0,40 euro l’année précédente et démarrera son programme de rachat de titres dans les 12 prochains mois.Le bénéfice d’exploitation ressort à 355 millions d’euros contre un consensus Reuters de 351 millions ARKEMA : Arkema s’est déclaré « confiant » dans sa capacité « à réaliser une à nouveau une performance très solide » en 2013 malgré une faiblesse persistante de la demande sur certains marchés de matériaux à haute performance et un contexte économique incitant plus généralement à la prudence. « Sur le début de l’année, la faiblesse de la demande observée sur certains marchés des matériaux haute performance fin 2012 se poursuit », a expliqué le groupe jeudi, en soulignant qu’il attendait néanmoins « une reprise progressive des volumes sur ce pôle dans le courant du premier semestre ». En 2012, le groupe de chimie a renoué avec les bénéfices en dégageant un résultat net de 220 millions d’euros, après une perte nette de 19 millions d’euros en 2011 en raison d’une charge liée à la cession de ses activités vinyliques à Klesch. Dans un environnement de marché plus difficile, qui a pesé sur ses volumes d’activité, le groupe a dégagé un excédent brut d’exploitation (Ebitda) de 996 millions d’euros. En léger repli de 3,7% d’une année sur l’autre, il est cependant exactement conforme à l’objectif des analystes. En 2011, il avait symboliquement dépassé le milliard d’euros, à 1,03 milliard d’euros. Arkema avait confirmé en novembre son objectif d’excédent brut d’exploitation (Ebitda) « proche » de 1 milliard d’euros pour 2012 et avait souligné sa confiance en « sa capacité à réaliser une année très solide ». Le chiffre d’affaires du groupe de chimie a de son côté progressé de 8,4% à pratiquement 6,4 milliards d’euros. Il était attendu à 6,41 milliards d’euros par les analystes, selon FactSet. VEOLIA ENVIRONEMENT : confirmé jeudi ses objectifs financiers pour la période 2012-2013, après avoir renoué avec les bénéfices en 2012, les résultats de 2011 ayant été pénalisés par des dépréciations d’actifs et un environnement économique difficile. En 2012, le résultat net du numéro un mondial de la gestion de l’eau et des déchets s’est inscrit à 394 millions d’euros, contre une perte nette de 490 millions d’euros accusée en 2011. A périmètre et changes constants, le chiffre d’affaires a augmenté de 1,5% sur la période, à 29,43 milliards d’euros, contre 28,57 milliards d’euros en comptes 2011 retraités. Les résultats 2011 de Veolia ont été retraités pour tenir compte des cessions intervenues et en cours de réalisation. Le groupe a notamment cédé son activité de gestion de l’eau au Royaume-Uni et son pôle déchets solides aux Etats-Unis. Selon un consensus réalisé par FactSet, les analystes tablaient sur un résultat net de 215 millions d’euros et sur un chiffre d’affaires de 29,1 milliards d’euros. « La mise en oeuvre du plan Convergence a généré 142 millions d’économies de coûts bruts permettant ainsi de dégager, nets des coûts de mise en oeuvre, 60 millions de résultat opérationnel », a commenté le PDG du groupe, Antoine Frérot, cité dans un communiqué. Le résultat opérationnel récurrent s’est quant à lui inscrit à 1,19 milliard d’euros, en repli de 23,4% par rapport aux comptes de 2011 retraités et en recul de 23,4% à changes constants. Veolia a publié une capacité d’autofinancement opérationnelle de 2,72 milliards d’euros au 31 décembre 2012, en retrait de 4,6% par rapport aux comptes 2011 retraités et en repli de 6,2% à changes constants. Un an d’avance sur le plan de désendettement .Le groupe a précisé dans un communiqué que son objectif de cessions d’actifs, fixé à 6 milliards d’euros pour la période 2012-2013, comprenait le « remboursement de prêts des co-entreprises lié aux cessions BAE SYSTEMS : Le président exécutif d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=NL0000235190&place=XPAR&codif=ISIN »EADS a laissé la porte entrouverte à de nouvelles discussions de fusion avec le britannique BAE Systems (BA.LN), rapporte jeudi le Times de Londres sur son site Internet. Tom Enders a déclaré qu’une décision sur les intentions d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=NL0000235190&place=XPAR&codif=ISIN »EADS concernant l’expansion de ses intérêts dans le secteur de la défense – éventuellement par le biais d’un rapprochement avec BAE – serait prise après la finalisation d’une revue stratégique de son activité militaire et le remaniement du conseil d’administration au printemps, ajoute le journal. Aucune décision n’est imminente, a précisé le dirigeant, selon le Times. ILIAD : Le chiffre d’affaires 2012 d’HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Iliad »Iliad a atteint 3,153 milliards d’euros, soit 48,6% de plus qu’en 2011. Sur le seul 4ème trimestre, les revenus sont en hausse de 63,7% à 890 millions d’euros. Si le fixe progresse de 9,4% sur l’année, c’est évidemment le mobile qui fait exploser la croissance, avec un chiffre d’affaires de 843,9 millions d’euros en 2012. Côté abonnés, la société affiche 5,205 millions d’abonnés mobiles au 31 décembre 2012, et 5,364 millions d’abonnés haut débit. Comme le pensaient certains analystes, le nombre de clients mobiles devrait rapidement dépasser le total des abonnés fixes. Free Mobile détient ainsi près de 8% du marché mobile moins d’un an après son lancement. « Au cours du 4ème trimestre, le groupe a poursuivi son excellente dynamique de recrutement d’abonnés avec 800.000 nouveaux abonnés nets de résiliations, soit une part de marché de 67% des nouveaux abonnés », se réjouit l’opérateur GDF SUEZ : GDF Suez enregistre une hausse de + 7,0 % de son chiffre d’affaires à 97,0 milliards d’euros (croissance organique de + 5,8 %). L’Ebitda du Groupe s’élève à 17 026 millions d’euros, en croissance brute de + 3,0 % (croissance organique de + 3,6 %). L’Ebitda de la branche Energy International enregistre une progression de + 2,4 % à 4 327 millions d’euros. Il profite principalement des effets périmètre positifs et de taux de change favorables. L’Ebitda de la branche Energie Europe, à 4 180 millions d’euros, progresse en organique de + 3,5 %. Le résultat net part du Groupe s’élève à 1,6 milliard d’euros, en baisse par rapport à celui de 2011. Il prend en compte 2 milliards de dépréciations comptables d’actifs nettes d’impôts, essentiellement sur des actifs européens.Le résultat net récurrent part du Groupe, à 3,8 milliards d’euros, est en augmentation de + 11 % par rapport à l’année 2011. La dette nette, en baisse de 2 milliards d’euros par rapport à fin septembre 2012, s’établit à 43,9 milliards d’euros à fin décembre 2012.Le Groupe anticipe un résultat net récurrent part du Groupe9 entre 3,1 et 3,5 milliards d’euros en 2013, à climat moyen et régulation stable. Cet objectif repose sur une estimation d’Ebitda comprise entre 13 et 14 milliards d’euros, après prise en compte de la mise en équivalence de Suez Environnement. ADP : Aéroports de Paris a annoncé jeudi proposer une nette hausse de son dividende au titre de 2012 après des résultats conformes aux attentes et dit viser pour 2013 une légère croissance de ses résultats sur la base d’une stabilité du trafic. L’exploitant des aéroports de Roissy et d’Orly, dont Augustin de Romanet a été nommé PDG en novembre dernier, propose un dividende de 2,07 euros par action au titre de 2012 contre 1,76 euro pour 2011.ADP, dont l’Etat détient 52%, entre en 2013 dans une phase de trois années d’investissements plus modérés après un pic au cours des trois années précédentes, permettant une hausse du taux de distribution, porté de 50% à 60%, a expliqué le directeur financier Laurent Galzy à des journalistes.Cette hausse intervient malgré une baisse de 1,9% du résultat net par du groupe à 341 millions en l’absence des éléments exceptionnels qui avaient bénéficié aux comptes de 2011. Le groupe a dégagé en 2012 un excédent brut d’exploitation (Ebitda) de 1,017 milliard d’euros, en hausse de 4,6%, avec un chiffre d’affaires en progression de 5,6% à 2,640 milliards.ADP a profité de l’augmentation des redevances aéronautiques et de la hausse de 11,3% son chiffre d’affaires dans les boutiques situées dans les zones réservées des aéroports à 16,8 euros par passager, avec un objectif de 19 euros en 2015. Les analystes attendaient en moyenne pour 2012 un chiffre d’affaires de 2,643 milliards d’euros, un Ebitda de 1,002 milliard et un bénéfice net de 346 millions, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. « Ces performances (…) confirment le caractère résilient d’ADP en période de crise et montrent que nous sommes une valeur de croissance », a dit Laurent Galzy, faisant référence à la l’amélioration récurrente des marges du groupe et à la croissance prévue à moyen terme pour le trafic. AIR LIQUIDE : La société a signé deux importants contrats à long terme auprès du groupe BOE Technology en Chine, pour l’approvisionnement en gaz vecteurs ultra-purs de ses deux nouvelles usines de pointe dédiées à la fabrication d’écrans plats de technologie avancée. L’une sera implantée à Ordos, en Mongolie Intérieure, et la seconde appelée à Heifei, dans la province d’Anhui. Le groupe fournira au total 50.000 Nm3/h d’azote ultra-pur pour les deux sites. Il s’agit du plus important investissement réalisé par Air Liquide à ce jour pour un client de ce secteur en Chine.L’usine BOE située à Ordos sera mise en service fin 2013. La seconde commencera à opérer début 2014. CGG VERITAS CA 2012: 3411M$ +7% EBITDA 2012: 1011M$ +23% EBIT 2012: 403M$ +82% RNPG 2012: 123M$ (vs -14M$). Décryptage: Publication en ligne avec nos attentes (CA 3418M$, EBIT 402M$) et le consensus (CA 3433M$, EBIT 400M$, source Société). La répartition de l’EBIT entre résultat opérationnel (365M$ vs 364M$) et contribution au RN des SME (37M$ vs 38M$) est également en ligne. Une fois n’est pas coutume, au T4 la performance de Sercel, si elle reste très solide, est légèrement inférieure à nos attentes (CA 288M$ -11%, mop 28%) alors que celle des Services est légèrement meilleure (mop 8% au T4 12 contre 2% au T4 11). Le RN ressort inférieur à nos attentes (123M$ vs 143M$) en raison d’une charge d’impôts plus importante qu’estimée. Post acquisition Fugro la dette nette du groupe atteint 2105%$ soit un gearing de 47%. Pour 2013 le groupe vise une croissance du CA d’environ 25% (consensus +36%, source Facset), une progression de la marge d’EBIT (consensus mop 16% vs 11% en 2012, source Facset) et une amélioration du Retour sur Capitaux Employés. Valorisation: Publication en ligne. Les hypothèses retenues pour fixer l’objectif de croissance de CA de 25% pour 2013 et notamment les hausses de prix dans l’Acquisition Marine contractuelle devraient être évoquées dans la réunion de présentation à 9h30. Le consensus (EBIT 749M$ vs 703M$ PP) nous semble un peu haut pour 2013 au regard de la croissance visée par le groupe. Acheter (1), objectif 27€. / NRO INGENICO* – Résultats annuels en ligne CA12 1 206M€, +20%, +14% à pcc REX12 190M€, +26%, +24% à pcc RNpg12 97M€, +71% Décryptage : le groupe publie un CA 2012 de 1 206M€ (en ligne avec le consensus de 1 206M€, source Facset), en croissance de 20% en données publiées et 14% à pcc. Les terminaux de paiement (81% du CA) progressent de 13% à pcc, tirés par les pays émergents et la recomposition favorable de l’environnement concurrentiel en Europe (notamment UK, France et Europe Centrale). Les Transactions (19% du CA), en croissance de 23% à pcc, bénéficient du développement de Transfer To et de l’internationalisation des solutions Axis et d’Easycash. Toutes les zones géographiques sont dans le vert (Europe +9%, Am Sud +29%, AM nord +9%, Asie +13%). La part du CA générée par les pays émergents augmente, passant de 45% en 2011 à 48% en 2012. La marge d’exploitation s’inscrit en forte hausse de 24% à 190M€ (consensus 186M€€, source Facset) sous l’effet : 1/ d’un niveau de marge brute de 44,4% sur l’activité Terminaux (+200 bpts), et 2/ de charges opérationnelles stables à 26,8% du CA malgré la hausse des coûts commerciaux (systèmes d’intéressement des commerciaux) et de lourds investissements R&D dans les futurs relais de croissance du groupe. Le RN s’envole de 71% à 97M€ (consensus 98M€). Pour 2013, le management ambitionne une croissance du CA supérieure ou égale à 8% et un EBE supérieur à 18,5% hors intégration d’Ogone (leader européen des services de paiement en ligne). Cette acquisition (VE 360M€) devrait être finalisée au T1. Ogone, qui a généré en 2012 un CA de 42M€ pour une marge d’EBE de 30%, devrait connaitre une croissance de plus de 30% en 2013. Le titre se paie 20,7x en PE 12 contre une médiane longue (2006 – 2011) de 35,1x (source Factset). /TT/NR *Veille de marché Brokers HSBC passe à « surpondérer » sur HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/eurofins-FR0000038259,FR.html »Eurofins. BOUYGUES : Prix cible augmenté à 24.7 par Nomura BOUYGUES : Prix cible augmenté à 23.5 par Barclays EAD : Prix cible augmenté à 40 par Barclays